Erigée au XIIIième siècle, elle est inscrite à l’inventaire des monuments historiques depuis 1926.
On est frappé par la polychromie des matériaux qui la composent et le caractère massif de ses contreforts. Lors de travaux en 1970, des vestiges gallo-romains ont été rassemblés :
un sarcophage, taillé dans un bloc de granit, a été placé debout sous le grand vitrail
un labrum qui servait aux ablutions à l’entrée des temples romains a été placé près de l’entrée. Après avoir rempli la fonction de cuve baptismale, il n’est pas exclu qu’il ait servi d’abreuvoir…
L’intérieur, roman à la base avec des ajouts gothiques au XVième siècle est d’une grande sobriété avec laquelle contraste le magnifique rétable Louis XIII.